Les temps de la légèreté

Dans ses yeux, les rêves passent, ils trépassent. Tu les vois défiler, à reculons, tels «autrefois».
Des yeux bleus, distants, et soudain ils te touchent. Equidistants, hésitants.
A peine. L’effleurement d’un papillon, une aile, un mystère.

Te voient-ils ou encore autre chose ? silence, silence … dans la cathédrale de son cœur immense, les cierges brûlent.


"Des vapeurs d’or s’éveillent d’un jardin d’ailes ... "


A Katherine Berry, écrivaine féministe, dont je suis peut-être l'un des personnages ... me dit-elle.

Comments

Alain said…
Des vapeurs d’or s’éveillent d’un jardin d’ailes...
http://parafoniades.wordpress.com/2006/08/23/tina/

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