Une société plus juste, une Europe plus intègre
En cette période électorale, chacun rêve à un monde meilleur. Si j'étais candidate, voici quelles seraient les lignes de force de mon programme. 1. Promouvoir une autre conception de l'emploi basée sur la gestion des connaissances. Cette nouvelle approche se situe aux antipodes de la politique impulsée actuellement par l'Europe et les Etats membres. La stratégie de Lisbonne, en employant la MOC et le benchmarking s'est trompé d'outils. La politique du gouvernement actuel n'est qu'un épouvantail qui n'ose pas regarder en face les oiseaux de proie qui nous guettent. Au contraire, c'est la ressource essentielle qui est gâchée : la force de travail et la créativité. 2. Réorganiser les institutions de l'intérieur et en les décloisonnant pour en ressusciter la raison d'être, en améliorer le fonctionnement, notamment en termes d'information et de gestion. Lutter contre la corruption à tous niveaux, promouvoir la justice et la mixité social...
Comments
Poétesse des chants retrouvés et des brumes où le soleil est le pays de l'imaginaire.
Cybermondes, si vert était le monde ?
Les vagues nous donnent des vertiges,
ce sont les feux follets qui nous narguent à la dérive.
L'ondine brasse ta féminité et cette mousse qui me fait pleurer.
Ta féminité allume un feu de fièvre quand ton regard ouvre mes paupières.
En l'abysse de nos âmes le someil est amoureux du silence,
et le silence, c'est le rêve réinventé.
Tu écris avec les nuances de tes larmes,
tu écris avec le parfum de cette fleur dont j'ai oublié le nom.
Si, si, cette fleur de désespoir qui couve l'espoir.
Comment se nomme t-elle ? Tendresse et amoures ?
Muse Tina, en Bretagne tes chants perdus sillonnent sur nos lèvres,
et le fado que tu inspires invite les marins à s'occuper de leur âme !
L'orage est à l'image de ta nudité, c'est un diamant qui électrise les sens !
A contre-courant tu aimes, les vagues te le rappellent,
elles écorchent ton coeur, ton coeur n'est pas un récif,
c'est le miroir dans lequel tu aimes.
Tes chants et brumes me donnent le vertige...
A Tina Noiret, sublime poétesse.