Bulles de savoir

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Bulles de savoir : c'est le joli nom qu'a donné Michel Bastin au journal du réseau des savoirs qu'il gère dans la commune d'Etterbeek. Il y a quelques mois j'avais aidé ces amis à créer leur tout nouveau site internet, brillamment amélioré et maintenu depuis par Vincent. Et voici, que suite aux lectures du poète breton Carlo Breton, l'hiératique "Porto Alegre" y est publié ! Michel Bastin est l'image même de la réciprocité - cette vertu quasi politique qui place l'homme au centre du monde.

Comments

Anonymous said…
Oui, probablement il est donc
8:26 PM
Alain said…
La réciprocité est l'oubliée de la politique... ce qui donne à ce "quasi" la profondeur d'un gouffre... qu'il nous appartient de combler, de jour en jour.
1:43 PM
Anonymous said…
hello


Just saying hello while I read through the posts


hopefully this is just what im looking for looks like i have a lot to read.
11:21 PM
Anonymous said…
Good day!

It is my first time here. I just wanted to say hi!
5:02 PM
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Brothers in arms

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L'Europe s'engage résolument vers la guerre, et elle sera longue. C'est la fin de notre petite civilisation privilégiée européenne, la fin de l'art et de la société de la connaissance. Il n'y a plus de débat démocratique, plus de débat tout court. La pensée unique a tout envahi. Artistes et écrivains sont en danger de mort imminente parce qu'ils représent(ai)ent le seul danger face aux diktats, le dernier rempart. Fous qui ne comprennez pas notre rôle. D'ailleurs, il est trop tard, nous ne pouvons plus rien. Vous avez choisi le monde où vos enfants vont grandir - dans la précarité, la lutte et la Bêtise. https://www.youtube.com/watch?v=jhdFe3evXpk  
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Wilfried Martens, mort ...

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Wilfried Martens, mort ... je me souviendrai toujours de ce jour où, suivant mon cours de technologies au Parlement européen, il se leva, austère, intima le silence aux participants, pour me faire un discours de félicitations ... Impressionnant ... Ensuite, le croisant dans les couloirs il me remettait à chaque fois sa carte de visite : " Venez me voir ... " me disait-il d'un air concentré. Il n'oubliait pas. Je n'y suis jamais allée, et maintenant il est trop tard pour savoir ce qu'il aurait eu à me dire, ni ce qu'il avait vu en moi ...
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